Une erreur qui peut vous coûter cher sur Google : ne pas se préparer à l’avance

Être 1er sur Google peut avoir un impact puissant sur la croissance d’une startup. E-commerce, B2B : peu importe le marché, la porte d’entrée vers votre service sera majoritairement le moteur de recherche leader en Europe (90% de part de marché) : Google  !

Malheureusement, les efforts à fournir sont souvent mal compris et entraînent des échecs frustrants. C’est dommage, d’autant plus qu’une stratégie bien réalisée permet de poser des barrières à l’entrée sur un marché. 

Rappelons que 70% des français ne vont pas au-delà des 3 premiers résultats Google. 

Mieux vaut ne pas laisser vos concurrents prendre le leadership…

Voici donc les points à avoir en tête pour travailler les leviers SEO (référencement naturel) et SEA (Google ads) comme il faut, afin de booster sa stratégie de croissance :

Quelle est l’erreur la plus commune à éviter en SEO ?

La plus importante : ne pas se préparer avant d’en avoir besoin. Contrairement à la majorité des autres leviers, le SEO se travaille sur le temps long. Or, une part importante d’entrepreneurs choisissent des leviers d’acquisition au ratio effort / gain uniquement court termiste. 

La conséquence : beaucoup de frustration, et des parts de marché perdues, au moment où la société a besoin d’être visible sur Google pour croître. 

Comment éviter cela ?

En intégrant une petite partie des efforts quotidiens au SEO, dès le lancement d’un site. Cela doit devenir une routine, une habitude.

D’abord en s’assurant de connaître les pré-requis SEO : demandez toujours aux développeurs à avoir un temps de chargement de page très faible, et un site indexable par les robots. Chaque nouvelle version du site doit prendre en compte les attentes de Google, et pas uniquement de vos clients.

Ensuite, en rédigeant du contenu régulièrement, même de petite quantité. Avec une subtilité : ne pas s’enfermer dans une tour d’ivoire, et s’inspirer de ce que vos prospects verbalisent sur Google. Citons quelques outils gratuits pour les détecter : https://neilpatel.com/fr/ubersuggest/https://kwfinder.com/

Enfin, le conseil pour faire vraiment la différence : prioriser vos mots-clés par opportunité de conversion. Mieux vaut être premier sur un mot-clé tapé moins, mais qui convertit plus. Votre objectif n’est pas d’être premier sur plein de mots-clés, mais d’augmenter votre chiffre d’affaires.

Quelle est l’erreur la plus commune à éviter en SEA ?

Le SEA, géré depuis la régie Google Ads, est un outil puissant pour générer du business, mais de plus en plus dépendant de la technique. Google restreint en effet régulièrement la capacité à piloter manuellement une campagne publicitaire.

Google a besoin de savoir ce qui se passe après un clic sur une annonce payante : l’utilisateur est-il arrivé sur votre site ? A-t-il fait un achat ? Chaque euro investi doit être suivi à la loupe jusqu’au départ de votre prospect du site internet.

Comment les paramétrer ?

En validant tous les pré-requis de tracking. Même pour quelques centaines d’euros de dépenses, cela peut faire la différence. Il s’agit concrètement de poser des tags de conversions sur vos formulaires ou panier d’achat dans Google Analytics, puis de lier Google Ads avec Google Analytics. Vous pouvez aussi le faire directement depuis Google Ads pour plus de finesse dans la remontée d’informations, mais nous recommandons alors de passer par un consultant externe.

Attention tout de même à ne pas laisser entièrement la main aux algorithmes : il vous faut penser la structure de vos publicités selon ce que veut l’utilisateur : Recherche de votre marque / Recherche de mots clés business / Recherche d’information

La réussite d’une campagne publicitaire est maintenant dépendante des informations que vous envoyez à Google Ads : les conversions.

Une première erreur serait donc de se lancer sans paramétrer les “conversions”. 

Les conséquences peuvent être désastreuses pour votre budget, si Google ne sait pas ce qui se passe après un clic sur une annonce payante.

L’utilisateur est-il arrivé sur votre site ? As-t-il fait un achat ? Chaque euro investi doit être suivi à la loupe jusqu’au départ de votre prospect du site internet. 

Comment les paramétrer ?

En validant tous les pré-requis de tracking. Même pour quelques centaines d’euros de dépenses, cela peut faire la différence.

Il s’agit de poser des tags de conversions sur vos formulaires ou panier d’achat dans Google Analytics, puis de lier Google Ads avec Google Analytics. Vous pouvez aussi le faire directement depuis Google Ads pour plus de finesse dans la remontée d’informations, mais nous recommandons alors de passer par un consultant externe.

Attention tout de même à ne pas laisser entièrement la main aux algorithmes : il vous faut penser la structure de vos publicités selon ce que veut l’utilisateur :

Recherche de votre marque / Recherche de mots clés business / Recherche d’informations

Accélérer sa croissance grâce à Google ?

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Comment équilibrer le travail entre les 2 leviers ?

On imagine le SEA comme les attaquants d’une équipe de foot, et le SEO comme le reste de l’équipe.

Soyez présent sur quelques recherches concurrentielles à fort potentiel de business, en achetant la 1ere position via Google Ads (SEA), ainsi que votre propre marque si les concurrents se positionnent dessus.

Puis, quadrillez toutes les autres recherches de niche grâce au référencement naturel (SEO) et à une stratégie de contenu.

Comment mesurer la réussite de ce type de stratégie ?

De nombreux indicateurs existent, permettant d’analyser en profondeur vos résultats.

Pour un lancement, nous recommandons de s’arrêter au plus macro, afin de s’assurer de la bonne direction prise :

SEO : Le rapport mots clés de https://search.google.com/search-console/about qui permet, gratuitement, de mesurer la visibilité de votre site sur Google. Vos prospects ont une façon propre de verbaliser un besoin. Quels verbes d’actions sont choisis ? Les recherches sont-elles informationnelles ou transactionnelles ? Vos positions se rapprochent-elles de la 1ere page Google ou stagnent-elles ? 

SEO/SEA : Le rapport “device” sur Google analytics. 

Il est assez paradoxal de voir que nous le trafic Web est dominé par les smartphones, mais que l’analyse d’un site web se fait souvent à travers une vision PC. Un simple coup d’œil sur ce rapport permet d’identifier l’apport du trafic mobile sur votre business, et son taux de conversion depuis Google !

SEO/SEA : Le rapport “source / support” sur Google analytics. Quelle est la part de visite en provenance des moteurs de recherche, face aux autres leviers.

S’il ne devait y avoir qu’un seul conseil ?

Avoir la bonne Data, un bon SEO et des campagnes SEA ciblées n’est pas une fin en soi. 

Dans un monde où le consommateur est sur-sollicité, seul compte la cohérence de votre parcours, de la découverte à la page de commande. Sans friction.

Nous voyons régulièrement de très bonnes campagnes pub rediriger vers des pages de destination trop lentes à charger, ou un contenu SEO générant des milliers de visites sans aucune conversions. 

Google ne doit pas être pensé comme un silo : un travail sur le taux de conversion sur vos page de ventes fera finalement la différence.

Pour conclure : prenez un smartphone classique, sans Wifi et en navigation privée, puis faites votre propre parcours client, de A à Z, depuis Google pour éviter les surprises !

Contactez webloom pour en discuter et vous aider !

François Dragon : [email protected]

Clément Bourdon : [email protected]